Super-pollution aérienne : quelle évolution pour nos pratiques ?

Super-pollution aérienne : quelle évolution pour nos pratiques ?

Super-pollution aérienne : quelle évolution pour nos pratiques ?

Avion pollution yoomaneo

Super-pollution aérienne : quelle évolution pour nos pratiques ?

L’avion est, selon une étude menée par la BBC, en tête du classement des modes de transports les plus polluants. D’après l’Agence de l’environnement et de la maîtrise en énergie, l’avion polluerait 45 fois plus qu’un TGV ! 

En parallèle, les compagnies low-costs incitent à voyager davantage et ce mode de transport s’est banalisé… 

Nous mobiliser et réfléchir ensemble à ce défi environnemental permettrait de faire émerger des idées et solutions nouvelles. C’est ce qu’on fait nos membres sur yoomaneo, très nombreux à donner leur avis dans une discussion sur la super-pollution aérienne. 

Combattre la pollution par l’innovation technique ?

Nos membres semblent unanimement admettre qu’il est impossible que les usagers, par simple conscience environnementale, changent leurs habitudes. Depuis l’explosion des vols à bas prix au début des années 2000, le transport aérien est devenu accessible à tous et il est difficile de résister à des tarifs si attrayants. 

A notre époque on prend l’avion pour aller acheter une montre, une voiture ou pour signer un document à l’autre bout de l’Europe. On peut se rendre en Afrique pour 26 euros. Le marché encourage la population à voyager ainsi. […] — fred33270

Les prix des vols baissent et les salaires sont en hausse… Surtout du côté de la Chine. Ce qui permet aux personnes issues de la classe moyenne chinoise d’avoir davantage accès à ce genre de service. Pour remédier à cette vraisemblable explosion du trafic aérien, nos membres rivalisent d’idées ! Pour eux, les pistes prometteuses sont dans les biocarburants écologiques : hydrogènes ou hydrauliques.

Compte tenu de la croissance inéluctable de la demande, notamment du côté de l’Asie, seule l’innovation dans le domaine de la propulsion avec une énergie décarbonée, permettra de réduire les effets sur le climat. Il parait utopique de penser que les habitudes de transport vont changer. Oublions aussi l’avion à l’énergie purement électrique pour les vols moyens et longs courriers […] La piste la plus prometteuse serait l’hydrogène. Robin 135

Il faudrait innover dans un biocarburant écologique, qu’il soit de type électrique ou hydraulique. — Djams

Pour parer la super-pollution aérienne, la communauté yoomaneo laisse donc entendre qu’un changement du côté des mentalités s’avère compliqué. Si la plupart des membres ont proposé des réponses qui tournent, pour la plupart, autour d’innovations techniques diverses, certains ont également réfléchi à d’autres alternatives. 

Transformer les comportements par la sanction ou l’incitation ?

Les comportements environnementaux ont un impact sur le climat de notre planète, qui, étant un bien public mondial, doit être préservée. Pour ce faire, ces comportements peuvent être modifiés par les pouvoirs publics selon deux types de mesures que l’on retrouve dans la discussion. Certains membres misent sur des mesures incitatives, tandis que d’autres croient en l’efficacité de la contrainte et de l’obligation. La communauté s’accorde à considérer le prix du billet d’avion comme un outil de contrôle important. Toutefois, les avis divergent sur la façon dont celui-ci doit être modifié. Certains changeraient le prix selon le type de voyage, d’autres selon le taux de remplissage de l’avion, ou encore, par rapport à la durée du voyage… 

Il serait bien de baisser les prix des vols à l’attention des professionnels (voyages d’affaires) et à l’inverse augmenter les prix pour les vols de loisir. Mettre à profit les bénéfices engendrés dans la recherche pour améliorer et optimiser les énergies renouvelables et donc, amélioration qualité de l’environnement  Maestro

[…] Il ne faudrait pas revenir à un niveau de prix où uniquement les personnes aisées utilisent le transport aérien — Claude

Oui, augmenter les prix reviendrait à faire une sélection entre ceux qui peuvent ou non se permettre de prendre l’avion. Plutôt injuste comme système, mais comment réagit face aux vols low-costs ? C’est encore moins cher que le train, même pour un vol interne en France ! — Zak

Personnellement, j’appliquerai une taxe non pas selon le type de voyage mais selon le nombre de passagers dans l’avion. La taxe sera donc particulièrement élevée pour les jet-privés et ce ne sera pas les personnes les plus aidées qui pourront continuer à voyager. Il faudrait modifier notre façon de voyager également, qu’un vol aller-retour sur un week-end coûte plus cher qu’un vol aller-retour sur un mois — Majoub

L’avion est-il vraiment le moyen de transport le plus polluant ? 

Une idée en entraîne une autre et la discussion a réveillé un débat sous-jacent. Le transport aérien est le plus polluant, mais sous quelles conditions ? L’avion émet, d’après une étude de The Conversation, certes 125 fois plus de dioxyde de carbone qu’une voiture individuelle, toutefois un voyage Paris-Marseille a le même impact écologique en avion que pour une personne seule en voiture. D’autre part, il semble que le train ou le bus sont des modes de transport écologique à valoriser. 

Parfois prendre sa voiture est plus écologique que prendre l’avion, pour un même trajet Majoub 

C’est peut-être aussi une tendance à creuser : dvlper le réseau ferroviaire pour réduire les vols de courte-distance. […] vous pour le même prix vous prendrez le train ou l’avion ? — Zak

Il ne faut pas oublier que vous consommerez toujours plus par bateau ou voiture individuelle — ZoeM

Ce débat a stimulé les imaginaires de nos membres qui ont réfléchi en des solutions incluant une variété de moyens de transport. L’idée de mettre en place un budget carbone annuel par habitant qui calculerait notre consommation énergétique sur l’ensemble de nos déplacements a finalement surgi et pourrait se combiner à une des autres propositions : utiliser ces nouvelles sources de financement (taxes, hausse de prix) pour favoriser la recherche (dans le domaine des innovations techniques par exemple). 

Nous serons tous munis d’un appareil calculant notre taux d’émission de Co2. Une fois que nous dépassons notre taux maximum par an d’empreinte carbone, nous devrons payer des taxes plus élevées. Ce fonctionnement ne s’appliquera pas uniquement au niveau aérien puisque pour que ce soit plus juste et plus logique, il faudrait le mettre en place avec tous les types de transports. — Majoub

Mettre à profit les bénéfices engendrés pour la recherche, pour optimiser les énergies renouvelables et améliorer la qualité de l’environnement — Maestro

Ce fourmillement de propositions qui se complètent ont fait décoller de belles pistes de réflexion (non polluantes) ! 

____________________

Nos participants : Merci à fred33270, ZoeM, Kevnel, Lolo69006, PHILIPPE, Robin135, Djams, yoomaneo, Claude, Zak, Majoub et Maestro pour cette discussion !

Si vous aussi vous souhaitez donner votre avis sur ce sujet, contribuer aux articles yoomaneo ou poster vos propres discussions, rendez vous sur la communauté !

 

Un article rédigé par Marion.

Est-il possible de produire de l’énergie avec la lune ?

Est-il possible de produire de l’énergie avec la lune ?

Est-il possible de produire de l’énergie avec la lune ?

Est-il possible de produire de l’énergie avec la lune ?

Indirectement, les marées sont dues à l’attraction lunaire et on exploite leurs courants dans quelques centrales hydroélectriques. Mais est-il possible d’utiliser notre satellite terrestre autrement ? Le groupe japonais Shimizu souhaite le parer de panneaux photovoltaïques par exemple…

Que pensez-vous de cette idée ? Imaginez-vous d’autres façons d’utiliser la lune pour répondre à nos besoins en énergie ?

Comment donner un coup de pédale à la transition écologique ?

Comment donner un coup de pédale à la transition écologique ?

Comment donner un coup de pédale à la transition écologique ?

Comment donner un coup de pédale à la transition écologique ?

Le contexte 

L’État accorde une subvention pour acheter un vélo à assistance électrique (VAE) à condition de déjà bénéficier d’une aide obtenue au niveau local. Le montant de l’aide de l’État est identique au montant de l’aide accordée par la collectivité territoriale, dans la limite de 200 €.

La discussion 

Bonus vélo à assistance électrique : une aide financière lors de l’achat d’un vélo électrique sous conditions. Cette aide encourage-t-elle l’usage de ces vélos ? Qu’imaginer d’autre dans nos mobilités pour encourager la transition écologique ?  

Substituer le vélo électrique à la voiture ? 

Le vélo électrique est vu comme une solution à la surconsommation automobile dont l’usage est aujourd’hui un défi écologique majeur. Les transports sont responsables de 29% des émissions de gaz à effets de serre en France, et les voitures participent à 54% à ces émissions. La contribution de la voiture au réchauffement climatique s’élève donc à plus de 15% à elle seule ! Le vélo électrique ne se substitue pas à tous les usages de la voiture (difficile de ramener ses courses de la semaine pour 4 personnes à vélo), mais il constitue une réelle alternative pour plusieurs d’entre eux. 

En particulier, le vélo électrique est une bien meilleure option que la voiture pour se rendre au travail lorsque celui-ci est situé à moyenne distance. Dans plusieurs situations, il se compare également avantageusement au simple vélo : passé une distance de quelques kilomètres, ou sur terrain nivelé, le vélo traditionnel demande un réel effort physique qu’il est dur de fournir quotidiennement. Comme le mentionne un utilisateur, les distances sont raccourcies ! 

Un ancien collègue de travail avait lui investi dans un vélo électrique et les questions de distance étaient alors totalement modifiées. — Matthieu-B 

Au vu du montant à débourser pour s’équiper d’un vélo électrique, une aide de 200€ est la bienvenue. 

Tout ce qui donne un coup de pouce pour pouvoir faciliter une autre mobilité est bon à prendre. — Nonolyon 

Vu le prix conséquent d’un vélo électrique, le fait d’avoir une prime n’est pas à négliger — GMATGUI 

Je trouve que c’est une très bonne idée de donner un coup de pouce aux gens qui désirent acheter un vélo électrique — Laurentdu059 

Toutefois, c’est un montant faible comparé au coût de ce véhicule. Si on peut trouver des vélos électriques de faible qualité à moins de 1000€, pour un usage quotidien le budget à investir est plutôt de l’ordre de 1500€, voire plus. Comme un utilisateur en fait la remarque, c’est donc ceux qui envisagent déjà d’en acheter un qui vont bénéficier de l’aide de l’état. 

Si l’aide n’est que de 10% ou 20% par ex., compte tenu du reste à payer, elle risque d’être perçue que par des personnes qui ont les moyens, donc pas besoin d’aide. — Robin135 

Notons aussi que l’aide est soumise à conditions : là où il n’y a pas d’aide des collectivités il n’y a pas d’aide de l’état non plus ! Cette aide est-elle donc une bonne incitation ? 

Pas assez d’aide en région sud, dommage. — Mee 

Baisser le prix du vélo électrique, une bonne mesure ? 

Une production controversée

Si le vélo électrique a un réel intérêt dans différentes situations, il n’est pas épargné de quelques défauts. Sa batterie au lithium par exemple, comme le relèvent des membres de la communauté, est un composant qui fait objet de controverse. Le lithium est un élément dont la production est difficile, et les batteries elles-mêmes sont compliquées à recycler. 

Pour développer l’usage du vélo électrique il faut régler le problème des batteries (prix d’achat, échange, recyclage, etc.). — Jean38320 

La problématique des batteries polluantes pour les véhicules électriques va bientôt être conséquente. — GMATGUI 

De plus, le vélo électrique doit être rechargé régulièrement : en France l’électricité est produite via le parc nucléaire, mais dans de nombreux autres pays ce sont des centrales thermiques, reposant sur des matériaux fossiles, qui se chargent de produire cette énergie.  

Même si tous ces défauts sont dérisoires en comparaison du coût écologique de la voiture, certains regrettent qu’on encourage l’achat d’un vélo électrique quand un vélo traditionnel pourrait suffire. 

Un vélo électrique pour moins de 10km c’est de la bêtise […] Pour des trajets de moins de 10km il n’y a pas besoin d’électricité sur la région parisienne. — Xavier91720 

Une sécurité à renforcer

Par ailleurs la mesure proposée ne répond pas à l’obstacle principal de la circulation à vélo : la sécurité. Même si la mortalité à vélo est proche de celle des piétons, les chances de se blesser avoisinent celles d’un motocycliste, la catégorie la plus vulnérable ! En comparaison, en voiture les risques d’accidents (pour les cas mortels comme non-mortels) sont 30 fois inférieurs (à distance parcourue égale – statistiques en Angleterre pour l’année 2015) … La principale cause d’accident est la chute : de fait, la stabilité d’un vélo est facilement compromise par des obstacles (piétons, portières, …), ou les conditions météos (pluie, verglas, feuilles mortes…). Les accidents mortels sont eux causés en majorité par des conflits de trajectoire, et c’est aux carrefours qu’ils se produisent le plus. Pour un membre yoomaneo, les automobilises devrait revoir leur comportement sur la route à l’égard des cyclistes. 

Il faut aussi changer les mentalités des automobilistes qui ne roulent pas à vélo et qui sont des dangers forts et omniprésents pour les personnes circulant à deux roues — Matthieu-B 

Les infrastructures jouent elles aussi un rôle crucial dans la sécurité et mériteraient d’être améliorées avec des voies dédiées, des revêtement adhérents, ainsi que des carrefours aménagés. Tous ces dispositifs contribueraient grandement à réduire le danger. 

Il faut promouvoir les équipements cyclistes et vélo pour montrer qu’il est possible de faire du vélo même par temps de pluie ou de froid. — Xavier91720 

Pour développer encore plus ce mode de transport, il faudrait revoir de façon plus importante les réseaux routiers pour les adapter et les sécuriser — Matthieu-B 

Un objet soumis au vol

Un autre aspect majeur qui décourage de prendre le vélo est le risque de vol. Près de 400 000 vélos sont dérobés chaque année… et en conséquence, on estime que sur la même période, 80 000 cyclistes renoncent pour cette raison à ce mode de transport ! Quand on prend en compte le coût d’un vélo électrique, le vol est donc un réel facteur de découragement. Comme dans le cas de la sécurité routière, des solutions pourraient être mises en place pour sécuriser le stationnement. 

On a besoin de mettre en place des parkings sécurisés car il y a trop de vols, ou un système de tatouage efficace. — Jean38320 

L’aide à l’achat semble donc une maigre mesure, en comparaison des freins qui découragent l’usage du vélo électrique. Un participant à la discussion synthétise : 

Ce qui peut doper sérieusement l’usage du vélo, c’est avant tout la qualité et sécurité des infrastructures avec des voies propres et des stationnements sécurisés contre le vol ou les dégradations. — Robin135 

Une transition délicate à orchestrer 

Comme il a été relevé, le vélo ne peut pas toujours se substituer à la voiture : 

Tout le monde n’a pas la chance de travailler à proximité de son domicile et on ne peut pas empêcher chacun d’aller travailler dans un temps et coût acceptable. — Pascal1 

Lors de la mise en place des infrastructures qui rendent la ville plus cyclable, Il faut faire attention à ne pas trop concurrencer les usages des deux modes de transport. Si l’installation de pistes cyclables se fait au dépend des routes existantes, cela peut conduire à des embouteillages. Pourvu que les pistes ne soient pas utilisées et l’effet escompté sur la pollution sera inversé ! Un utilisateur cite à ce titre sa propre situation. 

Depuis que le nombre de voies de circulation a diminué pour faire autant de place pour les vélos, et qu’il y a plus de bouchons, je constate une augmentation de ma consommation d’essence ! — Pascal1 

Enfin, il ne faut pas dénigrer des options comme le covoiturage pour palier au problème automobile. Lors des déplacements du domicile vers le lieu de travail, le taux d’occupation des voitures est en effet particulièrement faible. En Europe, on ne compte qu’un 1.1 à 1.2 passagers par véhicule employé lors d’un déplacement pendulaire (déplacement domicile-travail du matin ou du soir). 

Pour les inconditionnels de la voiture il faut aussi penser au covoiturage. On constate trop d’autosolisme sur les routes. — Jean38320 

On peut citer quelques projets qui vont dans cette direction comme la voie A48 dédiée au covoiturage, ou le projet d’attribuer une voie du périphérique parisien à ce mode de transport. 

Nos participants : Merci à Matthieu, Laurentdu059, Nonolyon, GMATGUI, Robin135, Jean38320, Xavier91720, Mee, Pascal1, Saby1234, ZoeM et mousstera pour cette discussion ! 

Si vous aussi vous souhaitez donner votre avis sur ce sujet, contribuer aux articles yoomaneo ou poster vos propres discussions, rendez vous sur la communauté !

Un article rédigé par Jonas.

Consommateurs d’art, que pensez-vous du virtuel ?

Consommateurs d’art, que pensez-vous du virtuel ?

Consommateurs d’art, que pensez-vous du virtuel ?

Discussion

Faute de pouvoir investir galeries et musées, 136 jeunes artistes choisissent d’exposer leurs œuvres dans un monde ouvert virtuel : Wretched Light Industry. Une solution de passage ou un bouleversement de notre rapport à l’art ?

Un mode d’exposition pour mieux toucher le public.

Un premier point d’intérêt qui a été mis en valeur au cours de la discussion, est le gain d’accessibilité que propose un art virtualisé. L’avantage majeur d’une telle forme d’expression est la dématérialisation de l’espace d’exposition. Chacun peut entrer dans le monde de Wretched Light Industry, pourvu qu’on ait internet ! Conséquemment, plusieurs contraintes liées aux musées traditionnels disparaissent : trajet à faire, temps d’attente à la billetterie, horaire d’ouverture, affluence… Ceci résonne d’autant plus avec la crise pandémique qui sévit : ne pas avoir de contact physique avec d’autres visiteurs permet d’éviter les risques de contagion. Ces considérations permettent ainsi d’envisager un publique plus nombreux, car moins limité dans son accès aux œuvres.

C’est bien de pouvoir voir des peintures sur internet quand on n’a pas les moyens de se payer le voyage. — Maido2021

Cela rend l’art accessible à tous plus facilement — Sandro026

En outre, c’est aussi un public nouveau qui pourrait prendre goût à l’art, suggèrent certains utilisateurs. Notamment les jeunes et technophiles peu férus de musée pourraient se découvrir un goût pour les espaces d’exposition virtuels. Ces espaces rappellent ceux déployés dans les jeux vidéo, notamment les jeux de rôle (RPG – Rôle Playing Games) où l’environnement virtuel constitue un terrain d’exploration (on peut penser à des jeux comme The Legend of Zelda ou The Witcher). Par ailleurs, des dispositifs technologiques comme les casques de réalité virtuelle (VR), permettent une expérience immersive pour le spectateur.

Très intéressant pour les jeunes qui n’ont pas eu l’occasion ou l’envie de faire certains grands musées. — Yrodriguez

Cela pourrait attirer plus facilement les jeunes grands consommateurs de net et de nouveautés. — Ludo

Une offre en complément des musées traditionnels

Les musées sont habituellement peu disponibles pour faire la promotion de jeunes talents, par manque de moyens et soucis d’impartialité. Les espaces virtuels peuvent assurer cette fonction : eux ne sont pas limités en taille, et permettent à tous de s’exprimer !

De très belles opportunités de lancement pour ces artistes qui je pense, perdureront après la crise. — Maido2021

De nombreuses autres contraintes techniques sont évitées (gestion des visiteurs, entretien des locaux, sécurité), ce qui permet de développer des projets avec peu de ressources.

Les musées trouvent également leur compte dans ce nouveau mode d’exposition. Comme on l’a vu, ces espaces virtuels peuvent être un moyen pour intéresser une nouvelle communauté à l’art, habituellement réfractaire. Des membres de la communauté évoquent que des dialogues peuvent se créer, entre espaces réels et virtuels, entre nouveau et ancien. Un exemple de ce type d’hybridation peut être l’exposition « Van Gogh, The Immersive Expérience ». Grâce à des techniques d’imagerie virtuelles et VR, les spectateurs sont invités à redécouvrir de manière interactive les œuvres du peintre néerlandais. Cette exposition s’adresse à un jeune public et fait office d’une introduction ludique au courant impressionniste.

Ni une solution de passage ni un bouleversement – des habitudes qui cohabiteront — Maido2021

Ça commençait déjà même à cohabiter avant la crise, avec l’arrivée de nombreuses expériences de réalité virtuelle et augmentée dans plusieurs musées ! — ZoeM

Enfin, notons que les espaces virtuels ne sont pas juste une transcription digitale des espaces muséaux : ce sont aussi des lieux pour des créations originales qui ne peuvent pas se tenir ailleurs. Un espace virtuel n’a pas de réelle contrainte physique et permet de concevoir des objets qui questionnent notre rapport à la réalité. Le jeu Viewfinder illustre bien les possibilités en la matière. C’est un jeu d’aventure dans lequel le participant est amené à prendre des photos qui prennent vie de manière surréaliste. Comme un commentaire nous incite à le penser, il ne faut pas voir l’art virtuel comme une solution de remplacement, mais bien comme une extension !

Ce n’est pas pour moi juste un passage, c’est une évolution de l’art. — Alexandrieb

Une tendance dangereuse ?

De nos jours, souligne une utilisatrice, de nombreux contenus et services tendent à se dématérialiser. Des documents essentiels (comptes-rendus bancaires, feuilles de salaire, pass sanitaire…) sont difficiles à retrouver sans accès à internet. Le covid a contribué à accélérer cette tendance, avec l’incitation des gens à rester chez eux. Le télétravail est devenu une obligation pour certains, tandis que les cinémas et théâtres ont perdu une partie de leur public en faveur des services de vidéo à la demande comme Netflix et Amazon.

Attention, tout peut devenir rapidement virtuel, les pièces de théâtre, les musées, les expositions, les châteaux … — Mamymary

Or, cela laisse sur le banc la part de la population qui n’est pas à l’aise avec les nouvelles technologies de l’information et de la communication, et en particulier avec les usages liés à internet. En 2017, on a estimé à 13 millions le nombre de Français en difficulté avec le numérique. Il est important de maintenir une proposition culturelle accessible à tous et des musées solides, qui maintiennent un lien social, s’inscrivent dans cette démarche.

Ce mode d’exposition perdurera mais en accompagnement des expositions traditionnelles. — Eliane

S’il vous plairait de débattre plus longuement sur l’importance du lien social dans la société, nous vous suggérons la discussion sur les caisses de bavardage !

Merci à yrodriguez, Alexandrieb, Eliane, Ludo, mamymary, Saby1234, Lumaxel, Maido2021, Amaya13100 et Sandro026 pour leurs contributions ! 

Pourquoi devrions-nous quitter WhatsApp ?

Pourquoi devrions-nous quitter WhatsApp ?

Pourquoi devrions-nous quitter WhatsApp ?

Pourquoi devrions-nous quitter WhatsApp ? Comment le remplacer ? 

Transférer des données personnelles, est-ce bien sûr ? 

Depuis 2 semaines les nouvelles CGU de WhatsApp soulèvent des polémiques: partage de numéros de téléphone, contacts, noms, photos, statuts et horodatages avec Facebook. De nombreux utilisateurs préfèrent quitter l’application. Quels sont les risques?

Le transfert des données personnelles de WhatsApp à Facebook a suscité une première inquiétude chez les participants : l’apparition de potentielle failles de sécurité. Sur ce sujet, l’image du réseau social a été notamment ternie par le scandale Cambridge Analytica, révélé en mars 2018. Les journalistes ont rapporté que les données de millions d’utilisateurs avaient été extraites de Facebook, et utilisées notamment lors de l’élection présidentielle américaine de 2016.

Trop de risques sur ces applications ! Même sécurisé cela n’est pas possible à 100%.  —  GMATGUI

Beaucoup trop d’intrusions douteuses constatées !  —  Excuse

Or, le transfert de données n’améliorera pas les choses. Transférer les données sur une nouvelle plateforme, conduit souvent à ajouter des points d’accès ou à centraliser des informations qui les rendent de fait plus vulnérables.

En France par exemple, le logiciel Mega-Bus vers qui ont été centralisées les données d’une trentaine de laboratoires s’est faite dérober les informations médicales de près de 500 000 patients ! Un membre de la communauté fait d’ailleurs la remarque que les messageries Facebook et WhatsApp ne sont pas chiffrées et protégées, contrairement à celles des applications Telegram et Signal.

Un logiciel malveillant pourra facilement visualiser le contenu en clair  —  Ahaimoudi

Des données chez Facebook, pour quelle utilisation ?

Facebook, et de nombreuses autres applications en ligne, pratiquent abondamment la collecte de données sur leurs utilisateurs. Cette collecte est souvent opérée dans l’ombre, via les conditions générales d’utilisation (CGU). Par ce biais, les entreprises s’arrogent une multitude de droits, qui leur permettent d’exploiter les informations qui leur sont confiées. Même si la situation va en s’améliorant (demandes adressées à l’utilisateur pour la géolocalisation, ou pour les cookies installés), ces conditions sont encore aujourd’hui très permissives pour les entreprises… et très opaques ! Il est difficile de déterminer l’usage réel qui est fait par la suite des données personnelles.

L’une des principales finalités est le ciblage pour la publicité en ligne : de fait, ce marché est estimé en 2021 à 3,8 milliards d’euros. La publicité s’exprime sous de nombreuses formes, comme la fenêtre pop-up qui apparaît lors de l’usage d’une application mobile, que mentionne une utilisatrice. Mais c’est loin d’être la seule manière sous laquelle elle se présente à nous (recommandations commerciales dans les moteurs de recherche, encarts de pub sur les sites web, envoi d’emails personnalisés…) !

Personnellement je fais beaucoup de jeux sur internet et il n’y a que de la pub !  —  Agnesvetu

Placement de produit, pub c’est ce qui nous attend dans chaque application.  —  Frederic69

Aujourd’hui, les noms des GAFAs sont entachés à la suite de plusieurs dérives sur l’utilisation des données. Celui de Facebook ne fait pas exception, et n’inspire pas des réactions positives de la part de la communauté yoomaneo. Très récemment, l’entreprise a fait objet d’un nouveau scandale, accusée de propager les fake news pour s’enrichir. Le changement de nom annoncé (Facebook devient Méta) n’est pas anodin.

Je n’ai qu’une utilisation très réduite de Facebook par manque de confiance. Ce « mariage » ne me convient pas du tout.  —  Froufrou13

À propos du changement de nom de Facebook, n’hésitez pas à consulter la discussion à ce sujet !

Un prix à payer pour des services gratuits ?

Face à la migration annoncée des données, une partie des utilisateurs semblent résignés. Pour eux, l’utilisation qui est faite des données fait partie du modèle économique des services incriminés – c’est un contrat consenti par les utilisateurs. La solution qui est évoquée, est pour chacun de limiter son exposition sur les réseaux.

Tous ces réseaux sociaux ne sont pas « gratuits »  —  Eliane

Que préconisez-vous ? Ne pas exposer sa vie…  —  Excuse

Il faut éviter « d’étaler » sa vie et donner le moins d’informations pouvant être utilisées à notre insu  —  Mamymary

À ce propos, si cette solution vous paraît intéressante à creuser, nous vous conseillons la discussion « « E-suicide » : Avez-vous déjà pensé à disparaitre des réseaux ? » !

Une autre partie des utilisateurs soutient toutefois l’existence de logiciels libres. Parmi les alternatives, on a déjà cité précédemment Signal et Telegram. Le modèle économique sur lequel s’appuie ces deux licences est basé sur le don : payent ceux qui peuvent et veulent. C’est un modèle peu représenté mais qui compte tout de même de grands noms : on peut citer à cet égard l’encyclopédie en ligne Wikipédia, ou le système d’exploitation Linux.

Les alternatives existent et l’ergonomie et le service rendu par Signal par exemple sont comparables — Robin135

Reste l’inconvénient de devoir transférer ses contacts, comme il a été relevé dans la discussion. Choisir seul de changer d’application ne suffit pas, il faut pouvoir persuader son répertoire de contacts de changer avec soi.

C’est toujours contraignant de changer d’application (perte de contacts, documents…) — Maido2021

Enfin, c’est aussi prendre le risque de partager ses données avec une nouvelle entité, pointe du doigt un utilisateur.

Trop de contacts et d’informations en tous sens finissent par nuire ! — Selni

Un article rédigé par Jonas.

Pourquoi une ville vendrait-elle son nom à une marque ?

Pourquoi une ville vendrait-elle son nom à une marque ?

Pourquoi une ville vendrait-elle son nom à une marque ?

Pourquoi une ville vendrait-elle son nom à une marque ?

La discussion 

La ville de Vendôme a vendu son nom à la multinationale LVMH contre 10.000€ et de nouveaux emplois. Le groupe peut désormais l’utiliser pour ses produits de joaillerie. Qu’est-ce que cela vous évoque ? Et si d’autres villes faisaient pareil ? 

Grace aux retours des membres de la communauté yoomaneo, nous avons pu réaliser un cours article évoquant les avantages et problématiques engendrées par ce genre d’action ! 

Quels avantages pour la ville et pour la marque ? 

Quels sont les avantages que la marque et la ville peuvent tirer de la vente du nom de cette dernière ?  

Pour la marque, c’est l’attachement à l’imaginaire de la ville qui est recherché. Certaines villes ont par exemple inspiré des marques : l’Oréal Paris par exemple, qui accole le nom de la capitale française à son nom de société.  Ce n’est pas toujours directement dans le nom de la marque mais parfois dans l’un de ses modèles ou gamme de produits que l’on retrouve le nom d’une ville : les voitures Ibiza par exemple, du constructeur Seat.  

L’imaginaire recherché peut relever tant de l’historicité – gage de prestige et de qualité – que de la localisation, ou d’attributs spécifiques à la ville dont la marque emprunte le nom. (Paris, ville de l’amour ? Millan, ville de la mode ? Las Vegas ville du jeu et de la fête ? Athènes, ville antique ? …) 

Les membres s’accordent pour dire que cela permet de construire une identité originale, qui se distingue dans un marché compétitif. 

Dans le marketing où il est nécessaire de se renouveler sans cesse, l’idée est plutôt ingénieuse. —  SyrineC 

La ville tire elle profit du rayonnement de la marque pour se faire connaître. Les membres de la communauté considèrent qu’une telle renommée peut attirer un flux touristique et de nouvelles activités ciblées par l’image véhiculée par la marque. 

Que penseriez-vous si LVMH avait racheté le nom de votre ville ? — Ça serait flatteur —  Ahaimoudi 

Il est intéressant d’associer le nom d’une ville à une marque : cela lui permet de gagner en notoriété et d’attirer plus d’entreprises —  Maido2021 

En outre, le revenu généré par la vente du nom peut bénéficier aux habitants. Si cela conduit à l’installation de l’entreprise acheteuse, cette vente peut également se transcrire sous forme d’emplois. 

L’argent encaissé peut permettre de rafraichir des monuments de la ville —  Laurentdu059 

La valorisation des emplois est intéressante et pérennise un tissu économique —  Maido2021 

Un conflit entre des usages 

Aujourd’hui, de nombreuses entreprises portent le nom d’une ville ou d’un territoire, souvent pour des raisons historiques. 

Certaines villes sont déjà associées par tous à des marques : Baccarat, St Louis  YJA 

Toutefois, les buts recherchés par les villes et les entreprises ne sont pas toujours compatibles. Fondamentalement, les sociétés visent le développement d’une image commerciale, dont la finalité est la vente de biens ou de services. Parallèlement, les villes ont à cœur de défendre une identité sociale : cela peut se traduire par une culture, des modes de vie, des valeurs. Lier les deux images sous un même nom c’est prendre le risque qu’à terme, l’entreprise impose sa vision. Une image agressive et innovante peut ainsi entrer en contradiction avec des valeurs de tradition et de sociabilité. 

Les villes ne sont pas des enseignes publicitaires ! —  Ludo 

Le changement des connotations associées à un nom comme celui de la ville où on habite peut donc conduire à un sentiment de rejet. Pour beaucoup, le lieu de vie est ancré à sa propre identité, et la dépossession de l’image de sa ville conduit au sentiment de perdre une partie de son identité. 

Ce sentiment peut se traduire aussi dans les usages : il ne sera plus possible pour quiconque de commercialiser des produits qui utilisent le nom de la marque, même pour les habitants eux-mêmes. Ça a été par exemple le cas des habitants de Laguiole : un entrepreneur a déposé le nom de la ville comme nom de plusieurs entreprises, ce qui en a entièrement bloqué l’usage. 

Une fois que la boite de Pandore est ouverte, il est toujours délicat de la refermer. Parmi les dérives, le cas de Laguiole est célèbre pour avoir défrayé la chronique. Blacktie 

 Problème éthique, tout est achetable ? 

Au-delà des aspects pratiques, ce cas met aussi en relief les limites du modèle capitaliste. Aujourd’hui les noms de villes sont des noms commerciaux comme d’autres. Si une ville souhaite rester maîtresse de son nom, elle doit le déposer à l’Institut national de protection industrielle, comme une entreprise qui commercialise un produit. C’est ce qu’a entreprit la ville de Deauville, ce qui lui a par la suite permis de poursuivre en justice la marque Honda lorsque celle-ci a voulu sortir une moto à ce nom.

Dans la majorité des cas, une entreprise n’est donc pas tenue de contracter un accord commercial avec la ville dont elle souhaite prendre le nom ! Elle peut directement se l’approprier sans passer par elle, pourvu qu’il ne soit pas déposé… Ethiquement, cela questionne les membres de la communauté !

Qui est en droit de vendre le nom d’un patrimoine historique ? —  I-I

Une grosse puissance financière peut acheter ce qu’elle veut… —  selni

En conclusion… une petit infographie pour visualiser en un coup d’oeil les opinions variées des membres de la communauté !

Si vous aussi vous souhaitez donner votre avis sur ce sujet, contribuer aux articles yoomaneo ou poster vos propres discussions, rendez vous sur la communauté !

Un article rédigé par Jonas.

Projet MASLOV, une nouvelle solution de connexion à internet

Projet MASLOV, une nouvelle solution de connexion à internet

Projet MASLOV, une nouvelle solution de connexion à internet

65
participants

15 questions sur
12 jours

2 251 posts
échangés

30 000 points
partagés

65
participants

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12 jours

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Le projet MASLOV est une nouvelle solution de connexion à Internet dans le logement. Cette solution combine des éléments filaires et sans fil afin d’optimiser la performance de connexion.

Vos réactions spontanées 

Spontanément, vous avez perçu la solution MASLOV comme étant le moyen de disposer d’une bonne connectivité. L’offre est perçue comme étant une solution particulièrement adaptée dans les foyers avec plusieurs utilisateurs ou rencontrant des problèmes de connexion. Vous avez été séduits par sa simplicité d’utilisation, notamment grâce à son application mobile.

Vos doutes

Vous avez néanmoins exprimé des doutes sur certaines caractéristiques de l’offre MASLOV :

  • L’installation (plus complexe lorsque le logement ne dispose pas de prises RJ45 existantes)
  • La politique de confidentialité (des données et des accès)
  • Le coût potentiel du dispositif (perçu comme pouvant être élevé)

L’évaluation des fonctions

Parmi les trois fonctions proposées par la solution MASLOV auprès des utilisateurs de moins de 35 ans (à savoir le point d’accès wifi, un point de charge induction et un point de charge USB), c’est le point d’accès wifi qui vous a le plus intéressé. Le second choix se portait sur le point de charge USB puis le troisième sur le point de charge induction. Ce dernier a attisé la curiosité mais soulevé des questions quant aux appareils compatibles.

Le solutions jugées similaires

Vous avez comparé MASLOV à plusieurs autres solutions existantes qui vous ont semblé partager des caractéristiques communes :

  • Les répéteurs Wi-Fi
  • Les prises CPL
  • Les solutions de domotique de manière plus générale

Les utilisateurs à adresser

Selon vous, les personnes les plus enclines à utiliser MASLOV sont :

  • Les foyers ayant une mauvaise connexion Internet
  • Les personnes ayant besoin d’une connexion internet très fiable et très performante
  • Les familles composées de plusieurs utilisateurs d’Internet
  • Les personnes vivant dans des logements de grande surface (avec un besoin de grande couverture Wi-Fi)

Si plusieurs d’entre vous s’imaginent utiliser la solution MASLOV, ceux qui sont satisfaits de leur connexion actuelle n’envisagent pas de l’adopter.

L’adéquation au contexte actuel

Vous avez perçu la solution MASLOV comme étant un dispositif dans l’air du temps, en adéquation avec les nouveaux usages d’Internet :

  • Hausse des pratiques de télétravail
  • Augmentation du nombre d’objets connectés dans les logements
  • Volonté de contrôler les temps de connexion des jeunes utilisateurs

MASLOV vous a aussi semblé assez innovant, de par ses modules multifonctions, son esthétisme, sa performance et son application mobile.

Projet MANCHESTER, faciliter l’installation électrique

Projet MANCHESTER, faciliter l’installation électrique

Projet MANCHESTER, faciliter l’installation électrique

23
participants

8 questions sur
7 jours

194 posts
échangés

9 200 points
partagés

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7 jours

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Ce projet, destiné aux professionnels intervenant sur les installations électriques dans le résidentiel amène à réfléchir atour d’un concept de mallette facilitant la manutention des bobines de fils électriques.

Vos réactions spontanées

De prime abord, la solution MANCHESTER vous parait intéressante puisqu’elle vous permet de gagner du temps et de gagner en efficacité dans votre travail, notamment sur des petits chantiers. Vous avez perçu le concept comme étant pratique et peu encombrant. Cependant, il ne vous semble pas adapté pour les chantiers nécessitant une longueur de fils et un nombre de bobines plus importants. De plus, certains d’entre vous sont déjà pleinement satisfaits des solutions existantes et ne s’imaginent pas avoir recours à la solution, d’autant plus que vous percevez des difficultés potentielles d’approvisionnement en bobines.

Vos mises en garde

Bien que la solution vous semble pratique à utiliser, vous vous imaginez avoir recours à la solution uniquement sur de petits chantiers et sous certaines conditions :

  • Trouver facilement des bobines de fils compatibles au même prix que les bobines traditionnelles
  • Pouvoir s’en servir seul
  • Pouvoir la transporter facilement

De plus, la solution vous a semblé fragile et complexe à recharger.

L’évaluation des fonctions

La fonction de distribution des fils électriques est celle qui vous attire le plus. Selon vous, chacune des trois fonctions créé de la valeur ajoutée par rapport aux solutions existantes, et c’est plus spécifiquement leur combinaison qui est particulièrement différenciante à vos yeux.

Vos émotions

Vous avez ressenti de l’espoir, de la joie et de la surprise à la découverte du concept, ce qui reflète votre enthousiasme vis-à-vis de la solution et du gain de temps et en efficacité qu’elle permet. Cependant, certains d’entre vous ont aussi ressenti du regret et de la peur vis-à-vis de la fragilité perçue de la solution et de son caractère « exclusif ».

L’adéquation au contexte actuel

Pour la plupart d’entre vous, la solution est en phase avec les tendances actuelles puisqu’elle répond à une recherche d’efficacité, de praticité et de simplicité, de plus en plus présente dans vos métiers. Cependant, elle n’est pas totalement adaptée à vos activités professionnelles : la fragilité et la longueur contrainte des fils à tirer ne vous permettent pas de couvrir l’ensemble de vos chantiers. De plus, certains semblent avoir de moins en moins recours à l’unifilaire, notamment pour les chantiers consacrés aux maisons connectées, qui occupent de plus en plus de place dans vos interventions.

Le consentement à payer

Pour déterminer votre prix d’acceptabilité, vous vous êtes basés sur le prix des bobines classiques (longueur 100 mètres, en 1,5 mm² ou 2,5mm²) multiplié par 3, auquel vous avez ajouté un supplément pour la mallette. En moyenne, vous envisagez d’acheter la solution MANCHESTER (mallette + 3 bobines) pour un prix de 90 euros HT.

Projet MUMS, surmonter la dépression post-partum

Projet MUMS, surmonter la dépression post-partum

Projet MUMS, surmonter la dépression post-partum

22
participants

7 questions sur
6 jours

121 posts
échangés

600 points
partagés

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7 questions sur
6 jours

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Parce que l’arrivée d’un enfant bouleverse le quotidien des mamans, deux psychologues spécialisées en Thérapies Comportementales et Cognitives ont créé une thérapie innovante pour surmonter la dépression post-partum. L’idée ? Réaliser des exercices chez soi et être accompagnées à distance par des psychologues et un groupe de soutien.

Votre avis sur concept

De manière générale, le concept MUMS a plutôt bien été reçu. Vous avez salué cette initiative permettant de redonner espoir aux mamans faisant face à une dépression post-partum et apprécié le programme d’accompagnement par des psychologues sur le long terme. Vous avez trouvé que ce programme est en phase avec les tendances actuelles de coaching à distance. Le fait d’accéder à un groupe de soutien entre mamans par le biais des réseaux sociaux fait partie des fonctions que vous avez le plus appréciées.

Vos doutes

Néanmoins, vous exprimez le besoin d’avoir aussi un contact humain direct, ne serait-ce que pour assurer l’assiduité du suivi des programmes ou pour être conseillées lors de baisses de moral. Vous vous interrogez également sur la pertinence d’une méthode d’exercices unique pour l’ensemble des mamans (qui peuvent vivre différemment leur dépression).

Pour donner suite…

Ce programme d’accompagnement pour la dépression post-partum ayant été développé, vous pouvez le retrouver sur le site www.acropsy.com. Les porteuses de ce projet, deux psychologues qualifiées, sont à votre disposition pour répondre à vos questions ou à celles des personnes de votre entourage qui pourraient faire face à un baby-blues persistant.

Projet EMILE, un gilet de vélo fluo innovant

Projet EMILE, un gilet de vélo fluo innovant

Projet EMILE, un gilet de vélo fluo innovant

23
participants

7 questions sur
6 jours

79 posts
échangés

600 points
partagés

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Le Vazi’Izocel est le produit phare de la marque Vasimimile. Un gilet pour le vélo en ville, innovant à souhait !

Le design

Vous avez trouvé le design de ce gilet de vélo attractif de part ses couleurs variées et ses motifs amusants. Vous avez apprécié son ajustabilité, le rendant confortable et léger à vos yeux, même si certains d’entre vous ont émis des réserves quant à la facilité pour l’équiper. Vous avez aussi apprécié la poche de rangement que vous avez estimé pratique pour ranger clés et téléphones. Nombreux d’entre vous ont suggéré d’ajouter une possibilité de personnification totale des motifs du gilet.

La sécurité

Vous avez trouvé ce gilet de vélo sécurisant. Le design fluo d’un côté et les bandes réfléchissantes de l’autre sont gages de sécurité selon vous.
Vous avez imaginé de nouveaux usages au port de ce gilet :

  • Dans des foules
  • Aux sorties d’école
  • En tant que piéton

Vous émettez certaines réserves vis à vis du gilet de couleur noir qui vous semble moins visible de nuit.

Les valeurs

Vous avez apprécié le fait que la production soit Made in France, valorisant un savoir faire local, et que les gilets soient conçus avec l’aide de personnes handicapées.

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